I Don't Wanna be stupid | Ft. Milan

- I Don't Wanna be stupid -

Milan & Maddison

Le réveil fût très dur comme tout les matins à vrai dire, mais cette fois-ci ce sont les douleurs sur les côtes qui me réveille et non la sonnerie de mon téléphone. Je soupire doucement en me tournant doucement et me retrouve face à mon soi-disant mari, je reste ainsi à le toisé en me perdant dans mes pensées. Je pourrais lui planté un couteau durant son sommeil mais, je ne suis pas du tout le genre de fille à être violente et ne veux pas surtout être derrière les barrières. Je m'extirpe du lit sans faire du bruit pour ne pas le réveiller, du moins... pas maintenant. Je dois le réveiller tout les matins à sept heures du matin afin qu'il puisse être à l'heure au boulot. Sauf, qu'il n'est que cinq heure et demi. Je vais donc dans la salle de bain pour me faire un brin de toilette avant de descendre pour préparer le petit déjeuner. Après avoir préparer le petit déjeuner, je prends le mien au calme devant la télévision en soupirant doucement. Je n'arrive pas du tout à avoir une nuit complète et c'est dérangeant dans le sens que j'ai de grande journée au travail. Je prends le temps qu'il faut pour mangé correctement avant d'aller faire ma vaisselle et de la ranger, ensuite je monte en allant prendre ma douche et me préparer. Je finis tout juste à sept heures pile de me préparer et me dirige rapidement dans la chambre en secouant doucement l'homme qui dort encore dans le lit ou que je croise alors son regard, il passe une main sur ma joue en souriant doucement. Je reste figée face à lui n'osant rien faire pour l'énervé. Il finit par sortir du lit en allant directement à son tour dans la salle de bain et heureusement que je sais ce que j'ai à faire : toujours remettre en ordre pour ne pas recevoir de coups, il n'aime pas du tout le désordre et moi-même. Je ne supporte pas de voir que rien est à sa place. Au moins, nous sommes sur la même longueur d'onde sur quelque chose.  J'ouvre les rideaux en ouvrant la fenêtre pour aérer la chambre et enlève la couette pour la pendre à la fenêtre le temps que je tire les draps. Le lit fait, je descends pour réchauffer le petit déjeuner en le posant sur le bar et une fois qu'il descends, j'enfile ma veste en prenant mon sac sur la table basse. « J'y vais, bonne journée. » sous ces mots, je tourne les talons pour me diriger vers la porte d'entrée, mais il m'attrape par le poignet en m'attirant contre lui en montant le menton vers lui pour m'obligé à le regarder dans les yeux. Il se baisse légèrement en posant ses lèvres sur les miennes en me donnant un tendre baiser avant de s'asseoir pour continuer de manger « A ce soir, travail bien. » fit-il simplement avant que je partes de la maison. Il a parfois des lubie ainsi que je ne comprends pas vraiment. Les baisers qu'il me donne ne me font aucun effet car je ne l'aime pas et c'est réciproque.

Je me gare dans le parking du lieu de mon travail avant d'aller pointer rapidement. Je vais donc me changer en enfilant le tee-shirt noir et le badge de la boutique avant d'aller saluer mes collègues. Je m'entends très bien avec elles, mais je ne suis pas leur amies. On parle très bien, mais je ne rentre pas dans les parties personnel pour ne pas qu'on cherche ce que je vis de mon côté. J'ai déjà mes soucis pour m'en rajouter une couche. On peut donc ouvrir la boutique et je vais à mes occupations, ce qui veut dire ranger les vêtements à leur place, mettre les étiquettes et j'en passe. « Excusez-moi, pouvez-vous m'aider à trouver un ensemble, s'il vous plait ? » demande une voix masculine, je me tournes alors vers lui et lui souris finement « Bonjour, vous avez un style que vous souhaitez ? Décontracté ou plus soigné ? » demande-je en rangeant le dernier cintre. « Je vous fais confiance, vous avez l'air de connaître. » fit-il en haussant les épaules. Je souris en hochant du visage « Suivez moi, je vous prie. » sous ces mots, je me dirige vers le rayon hommes avant de chercher plusieurs ensemble après lui avoir demandé ses tailles. « Tenez, essayez déjà ça pour voir ce que ça donne. Je serais pas loin donc n'hésitez pas à m'appelé si problème. » je lui souris une dernière fois avant d'aller ranger quelques rayons des hommes vu que certains prends des habits et les ranges autre part. Quelques temps plus tard, je sens des mains sur mes hanches ou que je me tournes avant d'apercevoir Eric qui approche son visage près du mien en souriant légèrement « Comme cela, tu parles avec des hommes ? C'est qui, ce connard ? » fit-il d'un ton dur en me pinçant les hanches ou que je serres des poings pour ne pas lâcher un cri de douleur. « Excusez-moi, j'ai besoin de vous. » annonce l'homme en question ou que je me dégage de son étreinte « Je ne fais que mon travail puis que viens-tu faire ici ? Ton lieu de travail n'est pas ici. » fis-je en le toisant alors « Ce soir, on réglera cela. »  sous ses dires, il m'embrasse rapidement sur le front et quitte la boutique. Je soupire doucement avant d'aller vers mon client en m'excusant et le conseil sur ce qui va ou pas.

Ma journée finit, je n'ose même pas rentré chez moi car je sais ce qui m'attend, il ne m'aime pas donc pourquoi est-il jaloux ainsi ? Il sait jouer la comédie en public mais, le soir... C'est autre chose. En rentrant, je pose ma veste et les clefs de voiture à l'entrée avant d'aller vers le salon ou qu'il est appuyer contre le bar les bras croisés en me fusillant du regard. « Va te changer. Met un jean et un haut, on va manger dehors. » sa voix est ferme et froid, je monte dans la chambre en me déshabillant avant d'enfiler un jean et un top avant de descendre à nouveau. Sauf, qu'il m'attends avec une ceinture à la main, que va t-il me faire ? Il n'a jamais levé la main avec un objet dans la main, comme quoi... Il y a une première à tout. « Tu vas le regretté d'avoir osé me répondre en public, sale pute. » Il s'approche de moi en m'empoignant la main. Il sent l'alcool et je sais que cela sera pire qu'en étant sobre. Il faut que j'arrive à m'échapper de son emprise rapidement, il lève la main avec la ceinture et m'accroupis rapidement pour l'éviter et le pousse de toute mes forces avant de quitter la demeure rapidement en le sentant me suivre. Je ne cours pas aussi vite que lui et heureusement que j'ai de l'avance, sinon je serais cuite. Je prends les raccourcis qu'il ne connaît pas pour le fuir, mais surtout gagné du temps. Quand je sens qu'il ne me suit plus, je ralentis en soufflant. En regardant autour de moi, je sens que je n'aurais pas dû prendre les chemins vu que je suis pas dans mon éléments et qu'ici... Je risque de tombé sur des types bien plus bizarre que mon mari.

« Tu as besoin d'aide, jolie demoiselle ? » la voix me fait sursauté avant de me retourné vers la personne, avant de voir qu'ils sont une troupe. Je suis dans la merde. Je sers des poings en me concentrant sur les battements de mon cœur pour ne pas paniquée, je ne risque rien... Quelqu'un va venir à mon secours, non ? Je garde espoir, même si je sais que c'est peu probable. Respire, inspire, respire, inspire. « Quand une personne pose une question, il faut répondre. A moins, que tu veux qu'on parle avec les gestes. » fit-il en s'approchant de moi et en attrapant une de mes mains. Bordel, dans quoi me suis-je fourrée encore une fois ? Je n'arrive pas à bouger, je suis comme paralysée sur place, même ouvrir la bouche je n'y arrive pas.