Je suis arrivé(e) à New York le : 10/05/2016 . J'ai envoyé : 240 mails. J'ai : 36 Actuellement, je gagne : 1259 dollars. On me confond souvent avec : David Giuntoli. Je dois mon jolie minois à : Fassylover et mon pseudo sur la toile est : Maev20/Maëva.
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Tous les Cowboys savent dire :"Welcome" (Dylan), Mer 18 Mai - 14:14
soirée dans un bar
L’amnésie. Je n’y avais pas forcément cru, quand je m’étais réveillé à cet hôpital, totalement perdu, avec un étranger à mon chevet. Ca n’a pas été vraiment un moment de plaisir, surtout de voir une personne souffrir ainsi. Voilà pourquoi je ne voulais jamais m’investir dans une relation avec sentiment, c’était trop de complication. J’en avais encore une preuve. Mais, apparemment, je m’étais pleinement engagé avec un gars. ca ne me ressemblait pas. Avant que je comprenne que j’avais perdu 3 ans de ma vie. Oublié, comme ça. Un gros trou noir avec lequel je devais apprendre à vivre. Mais ce n’était pas mon genre d’accepter sans en chercher la cause ou même une solution. Alors, j’avais rempli mon nouvel appartement de post-it, retraçant tous les grands évènements de ces trois dernières années. Mais tout cela resté bien vague.
Je n’avais rien sur moi, et je ne voulais pas que l’on me serve mes souvenirs sur un plateau. J’avais saisi les grandes lignes de mon histoire avec Samuel, mais tout cela me semblait tellement irréel que j’avais bien eu du mal à le croire. Résultat, j’avais changé d’appartement, ce qui ne m’aidait pas forcément à recouvrer la mémoire, puisque mon psy m’a toujours dit que je devais être dans un cadre le plus familier possible. Mais je n’avais pas voulu obliger Samuel, car c’est comme cela qu’il s’appelait, à quitter cet endroit où il devait avoir plein de souvenirs.
Heureusement, d’un côté, je n’avais pas perdu toute ma vie. J’avais encore des souvenirs, et j’essayais de m’en souvenir comme un tremplin. Mais il fallait que je sois patient, parce que ça mettrait du temps à venir. Ce qui faisait souffrir des gens, je le sais, à part Samuel, combien en ai-je oublié ? J’ai d’ailleurs été très étonné,hier, quand j’ai reçu un mail de ma mère qui semblait bien sympathique par rapport à la relation que j’entretiens et qui est plutôt très conflictuelle. Je ne comprends même pas comment j’ai pu renouer avec eux, après tout ce qu’ils m’ont fait vivre.
Pour éviter de ruminer trop longtemps dans mon appartement, tout seul comme un con, il m’arrivait souvent de me retrouver dans un bar, le soir ou même en pleine journée comme c’était le cas aujourd’hui. Je m’étais installé en terrasse, pour une fois que le soleil pointe le bout de son nez, j’en profite. Je regardais les gens passait, ces inconnus qui peuplaient désormais mon monde. Combien de gens avais-je oublié ? Ou avais-je gâché leur amitié. Oh, avec Dylan, que je devais, enfin, revoir, j’espère que je n’aurais pas tout perdu, mais comment croire une chose pareille ? Je suis plongé profondément dans mes pensées quand une silhouette que je reconnais que trop bien se poste devant moi. Je redresse ma tête avant de froncer les sourcils, bordel, un peu plus et je ne te reconnaissais pas !
Re: Tous les Cowboys savent dire :"Welcome" (Dylan), Mar 24 Mai - 15:05
«Tous les Cowboys savent dire :"Welcome"»
>Maxime & Dylan
Ma vie ces dernières semaines avait prit des tournants bien différents pour ne pas dire étranges. D'abord, il y avait eu le retour inespéré de Derek à New York, mais aussi dans ma vie. En le croisant sur le périphérique new-yorkais alors que j'étais en panne et qu'il m'avait aidé je ne m'attendais pas dans un premier temps à tomber sur lui, ni même à ce qu'il m'invite au restaurant pour un tête à tête des plus romantique et plaisant que je n'avais eu depuis notre séparation. Si depuis deux ans j'avais connu de nombreux hommes c'était avant tout pour satisfaire mes envies sexuelles plutôt que celles de mon coeur. Cependant, alors que je pensais vivre un comte de fée en pensant que mon prince charmant était de retour après de nombreux mois d'absences, je me trompais carrément et la douche fut glaciale lorsqu'il m'annonça qu'il avait couché avec Joy quelques semaines avant de me revoir. Ensuite, après avoir tiré un trait sur mon amitié avec Joy, je me suis lancé dans une opération vengeance avec Dyson. Dyson, c'est juste l'abrutit de mec qui servait de mari à mon amie décédée. Enfin, depuis quelques temps nous nous sommes rapprochés alors que nous nous sommes mutuellement soutenus après le décès de Tatiana et puis nous avons finit par coucher ensemble après avoir finit par passer la soirée à boire du vin et à crier à tous New York que nous n'avons plus rien à faire de Joy et Derek. C'est d'ailleurs comme cela que l'idée de nous faire passer pour un faux couple nous est venue à l'esprit et nous prenons d'ailleurs un malin plaisir à en jouer. Pour une fois, j'ai de réels moments de complicités avec lui. Avec tout cela et le morale au plus bas,j'avais finis par me créer des ennuis au travail, puisque j'avais perdu deux procès en l'espace de à peine dix jours ce qui avait mit mon patron en colère. De mon côté, j'avais finalement réalisé qu'il était temps pour moi de me changer les idées et de prendre un peu de repos avec le voyage au Costa Rica que Dyson et moi allons faire. Cependant, le départ n'est pas pour tout de suite et pourtant il fallait que je prenne l'air et que je me vide l'esprit. Pour cela, quoi de mieux qu'une petite sortie en ville avec un vieil ami de longue date ? Aujourd'hui, je ne travail pas et j'avais donc saisis l'occasion pour inviter Maxime à aller boire un verre. Après tout, lui aussi vit une mauvaise passe en ce moment avec son accident ainsi que les séquelles qu'il lui a laissé comme cette maudite amnésie et cela faisait un petit moment que je ne l'avais pas vu avec cet emploi du temps surchargé. Du coup, il est temps pour moi de passer du temps avec lui et de prendre de ses nouvelles.
En voiture, il m'avait fallut une bonne demie heure pour traverser tout New-York jusqu'au point de rendez-vous. Une fois ma voiture garé dans la rue juste en face, il ne me fallut que très peu de temps pour reconnaitre mon amis assis en terrasse. « Hello beau jeune homme, cette place est prise ? » dis-je avec humour avant de faire le tour de la table pour l'embrasser et le serrer dans mes bras. « Ca fais du bien de te voir ! Comment tu vas ? » dis-je en m'installant en face de lui. Rien que savoir que j'allais passer un moment avec lui me faisait déjà me sentir beaucoup mieux.
Je suis arrivé(e) à New York le : 10/05/2016 . J'ai envoyé : 240 mails. J'ai : 36 Actuellement, je gagne : 1259 dollars. On me confond souvent avec : David Giuntoli. Je dois mon jolie minois à : Fassylover et mon pseudo sur la toile est : Maev20/Maëva.
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Re: Tous les Cowboys savent dire :"Welcome" (Dylan), Ven 27 Mai - 18:36
soirée dans un bar
Ces derniers temps toute ma vie était chamboulé. Des accidents, des milliers de personnes en avaient, mais combien avait perdu leurs souvenirs ? Combien avait détruit le bonheur d’une vie parce qu’il est incapable de se souvenir ? Parce que c’était ce qu’était devenu ma vie. Pas très glorieux, quand on y pense. Je ne voyais plus Samuel, déjà parce que je ne voulais pas le faire souffrir plus que nécessaire. Je pense que pour le moment c’était la meilleure chose à faire. Même si je voulais retrouver mes souvenirs, je ne voulais pas le faire souffrir sans que je puisse me l’expliquer. J’avais décidé de me débrouiller seul pour retrouver ce trou béant dans mon cerveau. J’étais devenu totalement obnubilé par l’idée de retrouver tous ces souvenirs, retrouver tout ce que j’avais perdu. Certainement pour me flageller encore plus que je ne le fais en ce moment. Parce que je sais que tout ce que je vais découvrir, je l’aurais certainement perdu. Mais ce ne pouvait pas être autrement, je devais combler cet énorme trou noir. Tout mon appartement était rempli de post-it, d’articles divers relatant tous les grands évènements de ces trois dernières années, mais cela ne m’aidait pas vraiment, car il n’y avait rien de personnel et donc qui aurait pu faire écho à des ressentis oubliés, rien de rien. Mon psy ne cessait de me dire que plus je m’entêtais à rechercher des souvenirs, moins ceci allaient apparaître. Mais je refusais de l’écouter. Selon lui, je devais laisser les souvenirs venir à moi. Mais combien de temps cela va-t-il prendre ? Je ne veux pas laisser des années passer sans rien savoir. J’ai besoin de savoir ce que j’ai perdu. Quitte après à en souffrir, j’aurais au moins quelque chose à laquelle me raccrocher, Et puis au moins, je serais ce que j’ai vraiment fait enduré à Samuel. Malgré le fait que j’ai déménagé, et que je l’évité délibérément, je ne peux pas m’empêcher de penser à lui, et de me demander comme il prend tout ça. Mais je ne veux pas m’imposer, et le faire souffrir davantage. D’ailleurs lui-même n’a pas essayer de me contacter. Au final, c’est peut-être mieux comme ça, non ? Et puis lui demander de me raconter ce que j’ai perdu pendant ces trois ans, je sentais que c’était trop pour lui. Mais, heureusement j’avais encore des personnes dans mon entourage qui ne m’avait pas tourné le dos suite à mon amnésie. D’autres ont trouvé ça certainement trop dur et on finit par quitter le navire. Mais ce n’était pas ton cas. Tu avais continué à donner de tes nouvelles et, surtout, tu n’avais pas changé tes habitudes. Et je t’étais vraiment reconnaissante de ça, parce que je n’aimais pas vraiment que l’on me prenne en pitié. Je n’étais pas si malheureux que ça, la preuve j’arrivais encore à ramener des hommes chez moi quand je sortais. C’était pas si mal.
J'étais déjà installé à table quand tu arrives. Je te souris, sincèrement heureux de te voir après tout ce temps où toi tu étais occupée par ton travail, et moi, et bien je me bataillé avec mes souvenirs entre mon travail au foyer. « Oui, par une jeune femme qui se dit être mon amie. » Je te souris avant de te serrer dans mes bras. J’en profite, cela fait longtemps que je n’ai pas profité d’accolades amicales, ou tout simplement de voir des amis. « J’avoue aussi, j’avais besoin de sortir. Ca tombe à pic.. » Je hausse les épaules avant de sourire franchement « Aussi bien que peut un gars qui se croît en 2013 alors qu’on est en 2016, je te dis pas combien c’est perturbant. » Je secoue la tête « J’ai l’impression d’être un étranger qui débarque dans le futur, pourtant y a rien qui a beaucoup changé. »
Re: Tous les Cowboys savent dire :"Welcome" (Dylan), Jeu 9 Juin - 14:13
«Tous les Cowboys savent dire :"Welcome"»
>Maxime & Dylan
Je vais enfin pouvoir souffler un peu, me changer les idées loin de toutes cette mascarade que j'avais entrepris il y a quelques semaines et qui commence sérieusement à m'épuiser. C'était un conseil que mon frère m'avait donné lorsque nous nous sommes vu pour déjeuner il y a quelques jours. Oui, Liam m'avait conseillé de faire un break et de prendre du temps pour moi, étrange non que cela vient de lui ? Comme on dit, fait ce que je dis pas ce que je fais...Enfin, pas de Dyson, ni de Joy, ni de Derek dans les parages, je n'ai simplement qu'à me poser en terrasse d'un café avec Maxime afin de passer un moment agréable en sa compagnie. Le soleil me brulant le visage, je le rejoins rapidement à table le reconnaissant de loin avec sa crinière brune ébouriffée. Sa remarque lorsque je lui demanda si la place en face de lui était prise me fit sourire alors que je l'embrasse avant de m'assoir avec lui. En le voyant ainsi, j'avais du mal à croire qu'un tel accident avait pu lui arriver et qu'il soit amnésique au point d'oublier les trois dernières années de sa vie. Mais ceux sont les aléas de la vie et parfois cela nous tombe dessus alors que nous nous y attendons le moins. « Tu sais bien que tu peux m'appeler n'importe quand et à n'importe quelle heure de la journée si tu veux sortir. Je suis la reine de la fête à New York !» dis-je en lui rendant son sourire accompagné d'un clein d'oeil .Je ne suis jamais la dernière pour faire la fête ou même simplement pour boire un café en ville. J'aime passé du temps avec mes amis lorsque j'ai du temps libre et surtout mon Maxime, c'est toujours un plaisirs de le voir. « Je veux bien te croire, cela ne doit pas être évident...Tu n'as même pas un petit souvenir qui te reviens de ses trois dernières années ? Pourtant je peux te dire que ta vie a bien été remplit ses dernières années.» Surtout avec moi. Depuis qu'il était arrivé en Amérique, je ne l'avais pas lâché d'une semelle profitant de tout ses moments que nous avions raté alors qu'il se trouvait à l'autre bout du monde. « La chance ! Tu sais combien de personnes rêves de voyager dans le futur ?» dis-je en laissant échapper un petit rire alors que l'un des serveurs nous apporta les cartes. « Tu trouves réellement que beaucoup de choses n'ont pas changé ? Crois moi, tu te trompes...» dis-je en roulant les yeux alors qu'il allait de droite à gauche sur la carte. En réalité beaucoup de choses ont changé, en tout cas dans ma vie. Derek et moi ne sommes plus ensemble, j'avais terminé mes études d'avocate alors qu'il y a trois ans j'en étais qu'au début. J'avais maintenant mon propre chez moi en plein coeur de Manhattan, Tatiana nous a quitté, Dyson et moi nous sommes rapproché alors qu'avec Joy, c'est la guerre...« Tu sais ce que tu vas prendre ? » dis-je toujours la tête plongée sur ma carte. Il fait tellement chaud aujourd'hui , quelque chose de frais ferait le plus grand bien. « En tout cas, je suis sur que tu vas rapidement retrouver la mémoire. Tu es fort et en bonne santé !» Et puis il faut dire que je suis plutôt déterminé à l'aider à retrouver tout ses souvenirs récents qu'il a oublié. « Humm...ce temps...» dis-je en levant la tête vers le soleil. « C'est un temps à faire une randonnée ou même à faire du camping dans la nature. C'est tellement drôle le camping entre ami. Qu'est-ce que tu en penses ? Autres fois tu appréciés nos sorties en pleine nature» Il est vrai que même si nous...enfin moi surtout j'avais l'air d'une petite bourgeoise écervelé, il m'arrivait de partir en camping de temps en temps avec Max, Derek est d'autres amis afin de passer une ou plusieurs nuits à la belle étoile, loin de notre petit confort habituel. Cependant, même si tout cela n'avait rien de luxueux, ces simples petits souvenirs font partis des meilleurs que j'ai.
HG : Désolé du temps que j'ai mis pour te répondre mais la maintenance m'a prit beaucoup de temps. :S
Maxime Leprevost
MEMBRE ▪ entertainment weekly
Je suis arrivé(e) à New York le : 10/05/2016 . J'ai envoyé : 240 mails. J'ai : 36 Actuellement, je gagne : 1259 dollars. On me confond souvent avec : David Giuntoli. Je dois mon jolie minois à : Fassylover et mon pseudo sur la toile est : Maev20/Maëva.
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Re: Tous les Cowboys savent dire :"Welcome" (Dylan), Dim 12 Juin - 22:34
soirée dans un bar
Les amis sont fait pour s’entraider, c’est comme ça que je voyais l’amitié. Je n’avais pas beaucoup d’amis, dans le vrais sens du terme, ceux sur qui on peut vraiment compter quoiqu’il arrive et qui n’ont pas peur de nous dire nos vérités. Et c’était totalement le cas de ma relation avec Dylan. Elle n’avait pas peur de me secouer quand j’en avais besoin. Et en ce moment, c’était vraiment le cas. Mais je sais que moi non plus je n’hésiterais pas si le cas contraire se présentait. Mais pour cela il faudrait que je sache tout ce qui s’est passé pendant les trois dernières années, ce qui me semblait compliqué. Encore une chose que je ne peux pas faire : être présent pour mes amis parce qu’un gros trou noir m’empêche de me rappeler de tout ce qui est important pour eux, et peut-être si on a partagé des choses importantes. Je comprenais pourquoi certains avaient lâché le morceau et ne venaient plus me voir. Mais je ne t’avais pas perdu. Je t’embrasse à mon tour avant de te laisser t’asseoir en face de moi. On en avait vécu des choses et certainement beaucoup depuis mon amnésie. Tu continuais même d’être la même avec toute cette histoire. Et, en plus tu n’étais pas contre m’aider à retrouver cette mémoire. De m’aider dans cette promesse que je m’étais faite. « Je sais, mais j’avoue que ces derniers jours je n’ai pas vraiment eu la tête à faire la fête depuis mon accident. Mais pourquoi pas, ça me changerait les idées » Je te souris, on sortait souvent ensemble, même si je repartais souvent avec un homme au bras. Mais dernièrement, j’étais complètement perdu, et je ne savais pas trop ce que je voulais, à part retrouver la mémoire, c’était mon obsession du moment. « Rien, à part le néant. C’est très troublant, je te l’assure. Le pire c’est quand celui-ci qui est soi-disant ton petit-ami est à ton chevet et que tu ne te rappelles de rien surtout quand la seule chose que tu te rappelles c’est que tu ne veux pas de petit-ami, c’est encore plus troublant.» Je secoue la tête, il y avait bien trop de questions qui tournent dans ma tête. « Et bien je peux t’assurer que ça a tout du mauvais rêve. » Je souris, j’avoue que pour moi tout ça ressemble un peu trop à un cauchemar. « Non je parle, dans l’ensemble du monde.; Hé, je me rassure comme je peux hein.. Ma vie est un vrai bordel, alors si le monde ne l’est pas trop, et bien c’est déjà bien ! » Je souris. Parce que si je m’arrête sur ce qu’est ma vie aujourd’hui, ce serait l’horreur, alors je me concentre sur ma mémoire et simplement sur ça. Tu m’avais dis, en résumé, que tu étais désormais avocate. Et je n’ai aucun souvenir d’avoir fêté ton diplôme, ce que l’on a dû pourtant faire et de manière exceptionnelle, comme toujours. « Je pense que je vais prendre un jus d’orange, je tourne déjà assez au café. » Je referme la carte. J’appréciais vraiment ce temps plus qu’agréable. « Oui c’est ce que l’on me dit, en plus d’être patient. Mais je fais souffrir des gens dylan, des gens qui tenaient à moi, tu es l’une des seules qui est restée après ce chaos. » Je passe une main dans mes cheveux. Je regarde le ciel, c’est un temps à passer sa journée dehors. Et c’était un de mes temps préféré. « hum oui… Ca fait tellement longtemps que je n’en ai pas fait. Ou peut-être pas, je n’en sais rien. Mais ça me tenterait bien d’en refaire, surtout que j’ai besoin de me changer les idées. » C’était quelque chose qui m’avait toujours fais du bien, de partir comme ça, un peu à l’improviste. « On l’a fait pendant ces trois dernières années ? » Peut-être que ça ne m’aiderait pas ou peut-être que si, mais j’avais tout simplement envie de savoir.
charney
hj : pas grave, t'en fais pas
Invité
Invité
Re: Tous les Cowboys savent dire :"Welcome" (Dylan), Jeu 16 Juin - 11:48
«Tous les Cowboys savent dire :"Welcome"»
>Maxime & Dylan
En général, je suis du genre à donner beaucoup en amour comme en amitié. Que ce soit avec ma famille, mes amis ou mon petit-ami en général, je fais toujours en sorte d'être la pour eux, de prendre soin d'eux et de veiller à ce qu'ils ne manquent de rien. C'était une chose qui avait finit par me faire défaut en amour, à voir comment Derek m'avait traité à deux reprises en me trompant d'abord puis en couchant avec ma meilleure amie. Est-ce que c'était quelque chose que je méritais ? Je ne pense pas. C'était simplement des actes idiots commis par un idiot. Au moins que Derek ne pourrait pas me reprocher de ne pas avoir étais attentionné avec lui maintenant que nous sommes séparé...En ce qui concerne Maxime, nous étions déjà très proche l'un de l'autre vivant une amitié très forte, mais depuis son accident et son amnésie, je sentais encore plus le besoin d'être la pour lui. Pas que ce soit une obligation contraignante, mais parce que mon ami a besoin de moi et besoin de mon aide plus que jamais. Au fond de moi, je sais très bien que si quelque chose dans le genre m'arrive, que je me retrouve amnésique du jour au lendemain oubliant trois années de ma vie ou que je me retrouve entre la vie et la mort, je pourrais compter sur Maxime pour prendre soin de moi. D'ailleurs, il était peut-être l'une des seules personnes dont j'étais sur qu'il le ferait. « Je te comprends, mais comme tu viens de le dire, cela te changera les idées. Ce n'est pas en restant enfermé chez toi que tes souvenirs reviendront. Au contraire, si tu bouges et que tu retournes dans des lieux ou tu avais l'habitude de te rendre peut-être que cela t'aidera. » Je pouvais très bien comprendre ses peurs, mais comme je venais de lui dire rester enfermé ne l'aidera pas non plus. Il a peut-être oublié trois années de sa vie, mais elle ne s'arrête pas la bien au contraire et pour cela il faut que Maxime en prenne conscience. Lorsqu'il évoqua le fait qu'il ne se souvenait de rien du tout, même pas un petit souvenir de ses trois dernières années, cela me surpris. Comment peut-on oublier trois ans de sa vie de la sorte ? La science et le corps humain m'étonneront toujours. Il évoqua alors la présence d'un homme à son chevet lorsqu'il avait reprit connaissance et le fait que celui-ci lui avait confié être son petit-ami. « Samuel...» Il n'avait peut-être pas agit de la bonne façon en lui balançant cela à la figure dès son réveil, mais en même temps il ne pouvait pas s'imaginer que l'éducateur avait perdu la mémoire lors de son accident. Si Maxime était complètement déboussolé par cette révélation, je savais que Samuel lui aussi l'est pour l'avoir croisé à plusieurs reprises depuis. Le pauvre, cela ne doit pas être évident d'entendre l'homme que vous aimez depuis tant d'années vous dire qu'il ne veut plus de vous et qu'il ne vous reconnait même plus. « Tu es en train de me dire que tu ne veux pas de petit-ami ? ...Je rêve ou cela veut dire que maintenant tu veux une petitE amie ? » dis-je en insistant bien sur le "e" à la fin de petite. Un sourire nerveux s'affichant sur mon visage. Je n'arrivais pas à le croire. Comment se faire percuter par un camion peut influencer votre orientation sexuelle ? Pour éviter qu'il se sente gêné, je prend la carte face à moi et y plonge mon nez dedans afin de choisir ce que je vais commander alors que Maxime continu en me disant qu'il essaie de se soulager en disant que le monde extérieur n'a pas trop changer comparé au bordel qu'est devenu sa vie. « Alors comme ça, nous sommes deux à avoir notre vie en bordel en ce moment...Je vais prendre un café moi. » dis-je avant de déposer la carte sur le côté de la table. « Hé ! Arrête sa... » je me penche alors vers lui avant d'attraper sa main sur le bord de la table pour la serrer dans la mienne. « Ce n'est pas de ta faute si tu fais souffrir des personnes Maxime, c'est contre ta volonté ce qui t'arrive en ce moment, tu ne peux rien y faire. En ce qui concerne les personnes de ton entourage que tu as perdues, si elles sont bêtes au point de ne pas comprendre ce qu'il t'arrive et de partir plutôt que de te soutenir et de t'aider à retrouver la mémoire, c'est qu'elles ne tenaient pas réellement à toi. » un petit-sourire, lèvres légèrement pincées m'échappa... « Ce n'est peut-être pas plus mal dans un sens, au moins maintenant tu sais que les personnes sur qui tu peux compter sont celles qui t'entourent en ce moment. » C'est ce que je m'efforce de me dire depuis la trahison de Derek et Joy et c'est surtout ce que Dyson essaie de me faire comprendre, seulement c'est toujours plus simple à entendre de la bouche de quelqu'un que de la sienne et après ce que je viens de lui dire, je pouvais largement imaginer l'état dans lequel Maxime pouvait-être intérieurement en ce moment. Parfois, on peut-même avoir des bonnes surprises en voyant que les personnes qui ne sont pas les plus présentes dans notre vie s'investissent beaucoup plus que d'autres très proches lorsque vous avez une galère. C'était le cas de Dyson, dont j'avais été surprise de voir son implication et sa motivation à me faire retrouver le morale après le coup dur que m'avait infligé mon ex petit-ami et mon ex meilleure-amie. « En effet, tu appréciais ça. Tu t'amusais à jouer à tarzan et à grimper aux arbres à moitié nu...» je le fixe avec un léger sourire alors qu'il était en train de commençais à se décomposer en se demandant si ce que je raconte est bien vrai. « Il faut dire que l'alcool t'aidait beaucoup...» C'est tellement drôle de lui faire croire des choses, alors qu'il ne se souvient de rien. « Je plaisante, tu crois vraiment que je t'aurais laissé grimper aux arbres en boxer seul ? Non, je t'aurais accompagné...» dis-je en riant, même si il y avait peu de chance que cela n'arrive réellement. « Max...on est allé camper l'été dernier...» Ce n'est bien évidemment pas de sa faute, il n'en avait aucun souvenir... « Tu sais quoi, ce n'est pas grave je vais organiser ça. On va se faire un week-end camping avec quelques amis et tu verras que te retrouver dans la nature te rappellera des souvenirs. » Une week-end camping comme au bon vieux temps avec des notre petite bande d'amis...ou du moins ce qu'il en reste pourra l'aider à se détendre et à retrouver quelques souvenirs. « Par contre, je ne pense pas qu'inviter Derek soit une bonne idée...Mais Samuel peut venir ? Enfin, si tu n'y vois aucun inconvénient... » Je n'avais pas envie qu'il se sent mal à l'aise ou même que Samuel se sent mal à l'aise en la présence de Maxime qui ne se souvient même pas de leur histoire d'amour alors qu'ils étaient fous l'un de l'autre il y a quelques semaines de cela encore. « D'ailleurs en parlant de Samuel...tu l'as vu de nouveau depuis que tu es sortis de l'hôpital ? Est-ce que tu as pu prendre le temps de discuter avec lui afin qu'il te parle un peu de votre histoire.. »
Je suis arrivé(e) à New York le : 10/05/2016 . J'ai envoyé : 240 mails. J'ai : 36 Actuellement, je gagne : 1259 dollars. On me confond souvent avec : David Giuntoli. Je dois mon jolie minois à : Fassylover et mon pseudo sur la toile est : Maev20/Maëva.
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Re: Tous les Cowboys savent dire :"Welcome" (Dylan), Mer 22 Juin - 10:07
soirée dans un bar
Toi et moi, on se ressemblait sur beaucoup de choses, c’est ce qui faisait que notre amitié tenait la route depuis toutes ces années, et malgré la distance au début. On avait une définition de l’amitié assez précise et ressemblante. Je suis toujours le premier à venir en aide à mes amis, et surtout je mets toujours beaucoup d’espoir dans ce sentiment. Bien plus que dans celui de l’amour, qui est toujours celui par qui on est le plus déçu. J’en étais la preuve vivante, même si c’était malgré moi et pas la faute non plus de Samuel. C’était la vie, et c’était comme ça. Mais heureusement, dans mon malheur je pouvais compter sur toi et ton soutien plus que précieux. Ca me permettait très certainement de ne pas sombrer dans la dépression totale. Tu étais certainement la seule personne à ne pas agir trop bizarrement avec moi, à ne pas changer ton comportement. Ca me rassurait sur le fait que je n’étais pas la bête noire de la ville qu’il ne fallait pas approcher dans le cas ou, à prendre avec des pincettes. Tu étais vraiment la seule, si je ne compte pas samuel, sur qui je pouvais vraiment compter. Je sais que je ferais exactement la même chose pour elle, sans même hésiter. Elle était un peu comme la soeur que je n’ai jamais eu, comme la seule famille qui me tient à coeur. Et je pouvais compter sur toi pour me sortir de mon chez moi, de ma solitude. Je finis par sourire en secouant la tête « Oui, mais je ne sais pas ce que je dois faire pour que ceux-ci se déclenchent, j’ai tout essayé, enfin presque, je ne veux pas mettre Samuel plus dans la souffrance que ce qu’il est déjà à cause de moi. J’ai même été dans ce qui était mon ancien appartement, pour récupérer mes affaires, et je n’ai presque rien ressenti… » Je soupire, à vrai dire je me sens totalement perdu mais également comme si j’étais complètement nu, c’était vraiment une étrange sensation. Je ne souhaitais vraiment à personne de vivre cela. Surtout si la patience n’est pas votre fort, comme moi. Surtout que ça peut parfois me mettre dans des situations totalement inextricable. Voire parfois totalement déroutante. Mais je devais me débrouiller avec tout ça. Refaire ma vie avec les trous que j’avais dans la tête, essayer de les combler tant bien que mal, tenter de retrouver ce que j’avais perdu. Je hoche la tête à ce prénom, étrangement mon coeur se serrait à l’évocation de ce prénom, comme toujours je n’arrivais pas à expliquer ce phénomène. Peut-être que mon inconscient, lui, se souvenait de quelque chose ? Je n’en sais rien. Mais toujours est-il que je ne peux pas rester de marbre quand je le vois ou quand on en parle. Même si je ne fais rien voir, parce que je sais qu’il souffre déjà bien assez à cause de moi, et que je me sens bien assez responsable pour en rajouter encore une couche. Je hausse un sourcil à tes mots. Je ne peux pas m’empêcher de rire à cette idée. ce n’est pas demain la veille que tu me verrais au bras d’une femme, à part toi bien entendu. « Tu plaisantes, hein ? Tu sais bien que malgré que j’admire beaucoup les femmes, elle ne font pas battre mon coeur comme les hommes. Non, juste plus de sentiments, plus de ça… J’ai pas changé de ce côté, ou plutôt je suis revenu ce que j’étais. » Mais, étrangement, j’ai beaucoup moins d’entrain à partir avec un homme à mon bras, pourtant ce n’était jamais compliqué pour moi. Je referme la carte, je ne vais pas réfléchir à dix fois pour ma boisson. Je hausse les épaules, un sentiment de culpabilité m’étreint de nouveau. ça commençait à devenir familier, et franchement désagréable. « Ah oui, il faut que tu me racontes… Je t’avoue que j’ai un peu de mal à suivre, tout ce que je veux c’est que tu sois heureuse… » Je souris avant de poursuivre sur le fait que je fais souffrir des personne, ce qui était une vérité. Je secoue la tête. Ca a beau ne pas être de ma faute, il n’empêche que je me sens coupable et que j’ai beau me raisonner, ça ne change rien. « Ce n’est peut-être pas directement de ma faute, mais quand même. J’ai brisé, sans le vouloir un homme, j’ai réalisé ce que je craignais en m’engageant avec quelqu’un, et pendant trois ans j’ai baissé ma garde, et regarde où ça me mène… Mais oui, on peut dire que j’ai fais le tri dans les personnes que je considérais être des ‘amis’. Même si je considérais déjà que je n’en avais pas beaucoup. Mais ça n’empêche que ça fait mal, vraiment beaucoup. » Surtout quand je pensais à samuel, pour ce qui est des amitiés, je m’étais déjà résigné, et ça avait été un bon prétexte de faire du tri dans mes vrais amis. Mais peut-être que certains ne voulaient pas me voir parce qu’ils ont peut de voir l’oubli dans mes yeux ? Au final, je finis toujours par comprendre que je leur trouve des excuses, parce qu’ils me déçoivent toujours ! Mais, il y avait aussi de belles surprises, ceux que je n’attendais s’étaient montré là, et sans jamais me juger. Mais il n’y en avait pas beaucoup ! Vraiment pas, mais au final ça ne me dérangeait pas, on disait toujours que l’on comptait ses amis sur les cinq doigts de la main, et ce n’était que pure vérité. J’ouvre grand la bouche, prêt à gober les mouches. J’arrivais à peine à croire que j’aurais pu faire ça pendant ces trois dernières années alors que je ne l’ai jamais fais avant. « Huh, quoi ? T’es sérieuse ? » Je crois que j’étais en train de devenir blanc comme un linge. « Il m’est arrivé d’abuser sur l’alcool ? » Je fronçais les sourcils, il m’arrivait de boire de l’alcool mais jamais jusqu’à faire toute et n’importe quoi. Je finis par souffler de soulagement, et lève les yeux au ciel, tu n’étais pas possible. « Ca ne m’étonnerait même pas venant de ta part. » Je souris, mais celui-ci devient nostalgique, on avait de nouveau camper, mais je ne me souviens même pas avec qui j’étais, qui nous accompagnait. Je passe une main dans mes cheveux, regardant ailleurs pendant quelques secondes pour cacher mon trouble avant de reposer mon regard dans le tien. « Ca me dit bien oui, rien que pour m’éloigner d’ici déjà, et puis pour me changer des idées aussi. » Et même si on était pas nombreux, au final ce n’est pas grave. Je hoche la tête à l’idée de ce week-end. « Oui, je pense aussi pour Samuel, pas que je ne veux pas, mais notre relation est assez étrange. Mais peut-être que ça pourrait nous faire du bien. Je ne sais pas, en fait… Mais peut-être que tu peux lui proposer, je ne me vois pas le faire… » Je soupire, croisant mes bras, j’avais froid d’un seul coup. C’était l’oubli de cette histoire qui était le plus douloureux, qui me permettait de ne pas lâcher prise dans ma recherche de mes souvenirs. « Oui, j’ai été cherché mes affaires à son appartement… Je.. J’ai pas voulu, je vois combien il souffre d’être loin de moi, quand il raconte des souvenirs, je ne veux pas lui imposer ça… Tu sais même si je ne me souviens de rien, j’ai l’impression qu’il y a quelque chose de familier, mais je n’arrive pas à saisir de quoi il s’agit. »