Un simple cours de Boxe... On y croit tous ft Poppée

Il y avait beaucoup d’avantages à être riche. D’abord, les filles, elles sont toutes à vos pieds. D’accord, elle veut juste leur nom dans les journaux et votre argent, mais quand vous en avez peu à faire d’eux, vous vous en foutez royalement. Ensuite, quand, on est riche, on peut s’offrir une salle de sport. C’est ce qu’avait fait Dyson après la mort de sa femme. Il avait toujours été un fan des sports de combat, avec une légère préférence pour la boxe. Il aimait l’adrénaline qu’un combat pouvait procurer. Il n’avait pas peur de se prendre un coup, mais surtout, il n’avait pas réfléchir, seulement donner des coups. Alors, quand Tatiana est décédée, il a acheté une salle de boxe. Il pouvait y venir quand il voulait, la privatiser et surtout lorsqu’il avait envie d’être seul : c’était lui le patron. Ce jour-là, il avait passé une plutôt mauvaise journée au travail. Il appréciait plus que tout son travail, et pour être honnête, il avait vraiment hâte de pouvoir prendre la relève de son père, prouver au monde qu’il n’était pas qu’un gosse de riche, et qu’il pouvait faire des choses de sa vie. Cependant, il y avait un truc, qu’il n’aimait pas dans son travail : les investisseurs. Il fallait les convaincre, et pour cela rien de mieux, que de jouer les faux-culs. C’était le plus difficile, lui qui était d’une sincérité à toute épreuve. Alors, imaginer une réunion avec tous les investisseurs, cela avait de quoi, rendre fou même un sain. Il était resté prêt de trois heures assis, avec son père autour d’une table avec des investisseurs de tous les Etats-Unis, et vu que personne n’était d’accord, avec les autres, il avait eu l’impression d’être resté des heures dans cette salle de réunion. Je vous laisse deviner quel fut son soulagement, lorsqu’il quitta enfin le bulding de Richardson’s Energy et que son chauffeur le conduisit vers sa salle de sport. Il avait privatisé la salle. Pas parce qu’il avait besoin de se défouler et qu’il ne voulait pas que quelqu’un le voie, mais plutôt parce qu’il avait un cours particulier à donner. Habituellement, il se foutait royalement d’être observé, mais sa cliente était particulière. Cela devait être le sixième cours qu’il lui donnait et pour être honnête, les premiers avaient été comme tous les cours. Seulement le dernier avait légèrement dégénéré. Comment ? Il n’en avait aucune idée. Il lui avait appris quelque technique, et en deux, trois mouvements, il s’était retrouvé au-dessus d’elle. Il aurait pu simplement se relever et l’aider à se relever. Pourtant pousser par son désir, il l’avait embrassé. Pas un baiser, en mode collégien. Non, le genre de baiser qui fait mouiller une fille et qu’il lui donne envie de vous laisser son corps. Je vous vois déjà arriver, vous vous imaginez qu’il l’a déshabillé et qu’il l’a prise sur le ring. Et bien cela aurait été difficile, devant les autres membres du club. De plus, la jeune femme n’était pas n’importe qui, c’était la meilleure amie de sa sœur Gemma, et il ne pouvait pas faire n’importe quoi avec elle. Pourtant, aujourd’hui, il avait privatisé la salle, alors, il se laissait des possibilités, non ? Non, il allait lui donner un cours de boxe et tout le monde retournerait chez lui et basta. Il se changea : un simple tee-shirt et un short, et commença à taper dans le sac de boxe en l’attendant. Quand, il entendit les portes, il ne se retourna pas, il ne voulait pas être tenté. "Allez, dépêche-toi... On a plein de choses à faire." Dans sa tête, cette phrase ne sonnait pas vraiment comme elle devait." Le costume

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Je regardais ma montre, impatiente que le professeur nous lâchent enfin avec son cours d'anatomie. Aujourd'hui, j'avais assimilée tellement de notions médicales que j'en avais la tête qui tournait. Vers la fin du cours, j'écoutais à moitié les paroles du professeur en rêvassant. Lorsque le barbant professeur d'anatomie annonçait la fin de mon cauchemar, je me dépêchais de mettre mes affaires dans mon sac avant de me diriger vers le parking. A New York, il y avait toujours une petite brise et aujourd'hui, il y avait un petit vent qui me faisait du bien une fois hors de l'université. Parfois, je me demandais si j'avais bien fais de me lancer dans une carrière en médecine et j'enviais parfois les personnes déjà actives dans le monde du travail! Une fois rentrée chez moi, je prenais une douche rapidement. J'avais un cours de boxe avec Dyson dans quelques minutes. L'eau chaude qui coulait le long de ma peau blanche me faisait énormément de bien. Mes pensées s'envolaient sur Dyson et notre dernier cours de boxe ensemble... Le cours avait un peu dérapé et nous nous étions retrouvés au sol. Lui sur moi. En train de nous embrasser. Je ne savais même pas pourquoi nos lèvres s'étaient touchées. Il fallait avouer que Dyson était terriblement attirant et sexy mais il était également le frère de ma meilleure amie! J'avais tellement été gênée que je n'avais pas évoqué ce baiser à Gemma. Ce baiser avait été intense. Sauvage. Comme je l'aimais. Dyson embrassait tellement bien que j'en avais eu le souffle coupé... Je secouais la tête pour chasser mes pensées imaginaires pas très catholiques qui défilaient et m'activais à me préparer. Une fois prête, j'arrivais un peu en retard à la salle de boxe de Dyson. Lorsque j'ouvrais les portes, Dyson me tournait le dos et me demandait de me dépêcher. Je déposais mon sac de sport et enlevais ma veste, dévoilant mon débardeur blanc hyper serré. J'attachais mes cheveux bruns avec un élastique avant de rejoindre Dyson et de sourire de manière tout à fait amicale. « Je suis prête... » J'attrapais des gants de boxe et attendais les consignes de mon bel instructeur.  

Heureusement, qu’il ne l’avait pas regardé tout de suite, sinon, il aurait sauté en dehors du ring, pour l’obliger à mettre un gilet. Non mais sérieusement, elle n’avait rien d’autre que ce tee-shirt blanc moulant. Heureusement, qu’elle avait un soutien-gorge en dessous. Ça il avait pu le voir, car on avait l’impression que le tee-shirt avait été sculpté directement sur sa peau. Avec ça, elle ne pouvait rien lui cacher : ni sa poitrine généreuse, ni les courbes parfaites de ses hanches qui avaient dû être fait, juste pour qu’un homme pose ses mains dessus. Il tenta de regarder son visage, et de se persuader que c’était la meilleure amie de sa sœur… Alors, on ne touche pas. Ouai, même un sain aurait voulu voir ce qu’il y avait sous ce débardeur. Pendant, qu’elle montait sur le ring, il alla chercher les cibles anglaises, pour qu’elle frappe dedans. Il enfila et vint se placer en face d’elle. « J’espère que tu es prête, je n’ai pas l’intention d’être tendre avec toi. » Il avait décidé dans sa tête de lui en faire baver, et de la faire travailler, comme ça il pourrait oublier, l’attirance, qu’elle avait fait naitre en lui. Enfin, si on pouvait appeler ça de l’attirance… C’était plutôt un désir bestiale de lui arracher ses vêtements, et de la prendre violement sur le ring, pour qu’elle n’est plus envie de le tenter encore avec son tee-shirt. Depuis, la mort de Tatiana, il n’arrivait plus vraiment à contrôler ses pulsions. Il avait trouvé avec le sexe, et les filles, une façon d’atténuer sa douleur. Il ne s’attachait pas et du coup, ne souffrait pas… Le problème, c’était que son appétit sexuel était devenu presque incontrôlable. Mais, ce n’était pas vraiment le sujet pour le moment. « On va commencer doucement, je n’ai pas envie que tu te blesses dès le départ. » dit-il pour la taquiner. Depuis, qu’il lui donnait des cours, une certaine complicité, c’était installé… maintenant remplacer par de l’attirance. Il secoua la tête pour essayer de faire disparaitre les images de son corps contre le sien, de ses mains englobant ses seins… Il plaça les cibles en face d’elle. « Allez, tu frappes aussi fort que tu peux… » Le costume

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