Loto du rp ∞ Dylan & Khol

Loto du rp

Khol & Dylan

Ah le printemps ! La saison des couleurs pastels, des fleurs, des arbres qui recommencent à fleurir...C'est surement ma saison préférée avec l'été. D'ailleurs, aujourd'hui la journée ressemblait plutôt à une journée d'été avec le soleil brillant qui avait décidé de montrer le bout de son nez. Il faut dire qu'à New-York c'est plutôt quelque chose d'inhabituel avant au moins encore quelques semaines et du coup, j'avais décidé de profiter de ma journée de repos pour aller travailler mes dossiers dans l'un de mes parcs préféré de New-York, Flushing Meadows. Oui, je viens bien de dire journée de repos...il faut dire que lorsque l'on est avocat ou avocate, le repos n'existe pas vraiment. D'ailleurs, aujourd'hui je passe encore une fois mon temps libre à éplucher des dossiers et à les apprendre afin de pouvoir défendre de la meilleure façon qu'il soit mes clients devant le tribunal. Assise sur l'herbe, j'avais retiré mes escarpins et ma veste afin d'être plus à l'aise et lunettes de soleil sur le nez, je commence à feuilleter mon premier dossier dont l'audience avait lieu en fin de semaine. J'aime mon métier et j'aime me rendre utile au près de la population new yorkaise, mais lorsque j'ai rejoins le cabiné de droit social et aux familles, je ne m'attendais pas à ce que l’on me confie des dossiers aussi dangereux et violents pour mes débuts, mais puisque c’était le cas il fallait que je fasse avec et que je fasse abstraction de mes jugements personnels. Enfin, heureusement qu'à côté j'avais une vie quand même assez stable ce qui me permet de plutôt bien gérer la chose et de faire abstraction de tout cela plus facilement une fois rentré à la maison. Bien évidemment, je ne souhaite pas m'éterniser non plus dans ce cabinet, je compte me mettre à mon propre compte plus tard, mais le temps de faire mes galons et de me faire une clientèle j'ai rejoins ce cabinet très bien réputé qui appartient à un ami de mon père.  

Perdue dans mes pensées, je cligne des yeux lorsqu'une voix masculine m'interpelle pour me demander l'heure.  « Bonjour, euh...il est quatorze heure quarante cinq. » Un bel homme aux yeux clairs et au sourire ravageur venait de m'aborder alors que j'étais entouré de toute ma paperasse qui formait comme une barrière autour de moi. Par politesse, je lui rend son sourire avant de finir par comprendre que ce charmant jeune homme n'était pas venu m'aborder pour me demander l'heure.