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Il est temps de baisser son pantalon [Owen]

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Il est temps de baisser son pantalon [Owen], Mar 17 Mai - 18:39

 
Il est temps de baisser son pantalon
Il avala son café froid, faisant une grimace en sentant le liquide. Depuis combien de temps l'avait-il posé là en se disant qu'il allait revenir dans quelques minutes pour le terminer? Une réa était arrivée puis une autre peu de temps après et sa nuit avait défilé à toute vitesse avant qu'il ait eu le temps de se rendre compte de quoi que ce soit. C'était un peu pour ça qu'il avait accepté de faire tant de gardes de nuit. Il était trop occupé la nuit pour pouvoir penser. Le matin venu, quand il allait enfin se coucher, il était tellement épuisé qu'il se laissait tombé dans son lit et s'endormait dans la minute qui suivait sans prêter attention au vide à ses côtés.

Il jeta le gobelet et alla chercher un autre café au distributeur. Le café de l'hôpital était vraiment horrible. Quand il avait le temps il allait au café non loin et s'en payait un vrai. Mais là, rien que de penser à sortir et traverser la rue il était découragé. Et puis la montagne de dossiers qu'il avait à traiter était là pour lui rappeler qu'il n'avait pas le droit de s'éloigner de ses patients. Il ne lui restait plus que deux heures à tirer avant que la relève n'arrive et il pourrait retrouver son appartement et surtout son lit.

Il s'installa à nouveau à son bureau, grimaça en goutant le café détestable, puis se replongea dans ses dossiers. Voilà pourquoi il était sensé toujours faire ses dossiers au fur et à mesure. Il n'arrivait même plus à se rappeler la tête du patient sur lequel il était entrain d'écrire.

Il soupira à nouveau, découragé par le travail qui l'attendait.

- J'ai un patient pour toi...

Il laissa retomber son front sur son dossier en cours en grognant. Il n'aurait jamais une minute tranquille. Ses dossiers allaient continuer à s'accumuler et jamais il ne parviendrait à être à jour.

- Lisa... Tu ne veux pas aller embêter Matt? Je ne vais jamais m'en sortir avec ces dossiers...

L'infirmière semblait avoir une idée derrière la tête, comme souvent d'ailleurs. Alors qu'il relevait la tête en soupirant, il tomba nez à nez avec le sourire de l'infirmière. Mouais... ça ne sentait pas bon cette histoire.

- Celui là il devrait te plaire. Allez laisse tomber tes dossiers cinq minutes et vient te changer les idées avec ce patient.

Cela ne servait à rien de tenter de la raisonner de toute façon. Elle ne le lâcherait pas tant qu'il n'aurait pas accepté de la suivre. Il se leva, trainant les pieds et la suivit tandis qu'elle lui tendait un dossier en faisant un bref résumé du patient.

- Homme, vingt ans, arrivé tout à l'heure pour douleur violente au niveau de la fesse.

Il jeta un coup d'oeil au patient, plutôt sexy, qui attendait et à l'infirmière qui le regardait avec un sourire de fierté.

- Je vois...

Il soupira et jeta un coup d'oeil au dossier. Voilà qu'elle se mettait à jouer les entremetteuses. C'était encore pire que ce qu'il croyait. Comme si il avait envie de sortir avec quelqu'un d'autre. Maxime n'était pas mort. Il ne l'avait pas non plus plaqué. Il l'avait oublié... mais lui il ne pouvait pas oublier comme ça ce qu'il ressentait.

- Sam... il est temps que tu tournes un peu la page. Tu es jeune, sexy... tu dois...

Il la coupa rapidement, ne se sentant pas d'attaque pour entendre un discours moralisateur.

- Merci Lisa. Je vais aller voir ton patient. Tu peux aller me chercher l'échographe portable?

Sans lui laisser le temps de discuter davantage il alla vers son patient, faisant venir avec lui un siège à roulette sur lequel il s'installa avant de saluer son patient et de commencer son discours habituel.

- Bonjour, Samuel Richards, interne en médecin, je vais m'occuper de vous. Alors racontez moi... comment vous êtes vous fait ça?

Ca, il devait le reconnaitre, il était assez curieux de savoir comment sa douleur à la fesse était apparue. Il sentait qu'il allait rire en écoutant l'histoire.

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Owen J. Saunders
Owen J. Saunders
ADMINISTRATEUR ▪ le brin de folie
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Je suis arrivé(e) à New York le : 01/05/2016 . J'ai envoyé : 227 mails. J'ai : 28 Actuellement, je gagne : 964 dollars. On me confond souvent avec : Dean Geyer. Je dois mon jolie minois à : la boîte à avatars. et mon pseudo sur la toile est : zaza.

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Re: Il est temps de baisser son pantalon [Owen], Mer 18 Mai - 11:40


Il est temps de baisser son pantalon
Samuel feat Owen.

 


« Monsieur, allongé vous sur le ventre et un médecin va venir vous examiner. » c'étaient les dernières paroles que l'infirmière venait de me lancer avant de m'abandonner seul à mon triste sort. Reposant ma tête dans le creux de mes bras alors que j'étais allongé sur le ventre avec cette douleur insupportable qui me lance dans la fesse droite, je ne peux cesser de penser à comment ce serait terminé ma soirée si je n'avais pas tenté de relever ce stupide pari. Elle se serait surement terminée beaucoup mieux que ce qu'il en est en ce moment. J'aurais surement passé la soirée avec cette bande d'étudiantes brésiliennes venues pour un échange culturel et en échange de leur compagnie, je leur aurais montré comment les américains savent recevoir les étranger en leur donnant du plaisir à chacune d'entre elle en retour. Seulement, je ne sais pas si c'était le destin ou cette putin de foutu malchance, mais j'avais finis par me retrouver aux urgences avec la tête qui commençait à tourner du au trop plein d'alcool que j'avais dans l'organisme. « Bonjour, Samuel Richards, interne en médecin, je vais m'occuper de vous. Alors racontez moi... comment vous êtes vous fait ça?» Je venais de relever la tête vers le médecin qui venait de s'installer à côté de moi sur son siège. C'était un homme et en plus, il était jeune. Je ne lui donne pas plus de dix ans de plus que moi. Seulement, ce n'était pas son âge qui me dérangeait le plus, mais le fait qu'il soit un homme.Heureusement pour moi, j'avais finis par renvoyer mes amis qui m'avaient accompagnés chez eux, c'était déjà la honte pour moi de me retrouver aux urgences pour une douleur aux fesses alors si en plus un homme commençait à me les palper... « Je suis tombé sur une bite...» Soudain, je redresse de nouveau la tête me rendant compte de ce que je venais de dire. Le médecin affichait déjà un sourire sur ses lèvres, au fond de lui j'étais sur qu'il devait penser que j'étais ce genre de personne à préférer les hommes aux femmes, mais ce n'était pas du tout mon cas même si mes paroles auraient pu porter à confusion.  « Non, mais attendez ! C'est pas ce que je voulais dire, c'est pas mon genre...Enfin, je me suis fais mal plus tôt dans la soirée lors d'un match de football pour le championnat universitaire et alors qu'on a décidé de sortir fêter notre victoire avec toute l'équipe et une bande de brésilienne, Dan l'un des receveurs de l'équipe m'a lancé le pari de sauter au dessus d'une bite, vous savez ses petits poteaux qu'on croise dans la rue...» Rien que pour cette histoire de pari je passais pour un con. Franchement, qui avait l'idée de s'amuser à sauter au dessus des poteaux en ville ? Surement quelqu'un qui avait énormément d'alcool dans le sang...ce qui est mon cas en ce moment. Pourtant, me remémorer la scène me fit laisser échapper un petit rire...  « Je n'ai pas sauté assez haut avec cette douleur et du coup...BAM ! Je me l'a suis prise dans le cul. C'est drôle quand même non ? Aïe...» A force de bouger comme un asticot, je venais de me faire mal justement alors que mes paroles "Sauter au dessus d'une bite" et " Je me l'a suis prise dans le cul" me faisait toujours rire. « Bon, je présume que vous allez vouloir que je me déshabille ? Ben va falloir m'aider alors parce que je peux pas faire grand chose avec cette douleur. » dis-je en tentant de me tourner sur le côté pour le voir un peu mieux. Au fond de lui, il devait surement se demander quand est-ce que j'allais m'arrêter de parler...Dommage pour lui, lorsque je bois, je suis une vraie pipelette et la seule façon de me faire taire et de me faire dormir.


Dernière édition par Owen J. Saunders le Dim 5 Juin - 12:49, édité 1 fois
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Azaëlle Fitzgerald
Azaëlle Fitzgerald
MEMBRE ▪ new york times
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Re: Il est temps de baisser son pantalon [Owen], Ven 20 Mai - 12:05


Love New York, vote Azaelle Fitzgerald



La vie d'Azaelle avait pris une tournure des plus inattendues. Le maire Hamilton avait quitté brutalement ce monde et la ville de New York avait besoin d'une nouvelle personne forte pour porter ce poids sur ses épaules. L'idée de se présenter n'était venue tout naturellement à l'esprit d'Azaelle. C'était lors d'un repas de famille que son père le lui avait suggéré. Bien que son futur beau fils se présentait également le fait d'avoir deux de ses proches dans la course aux votes était une option qu'il n'avait pas pu négliger. Azaelle avait longuement réfléchi au fait de se présenter également, pesant le pour et le contre. Et finalement elle s'était lancée dans l'aventure. Après tout comme son père l'avait si bien souligner elle en était parfaitement capable. Mais la jeune femme lui avait bien précisé qu'elle ne faisait pas cela pour lui. Elle refusait catégoriquement de n'être qu'un pion dans la soif de pouvoir de ses chers parents et un moyen d'étendre le pouvoir de la famille Fitzgerald sur la Grosse Pomme. Si elle le faisait c'était pour New York, sa ville natale qu'elle aimait de tout son cœur. Elle était amoureuse de son effervescence, de ses rues, de ses buildings, de sa diversité culturelle, de toutes ces choses qui la rendait unique au monde. Et la jeune Fitzgerald portait aux habitants une tendresse toute particulière.

C'était une des raisons pour laquelle l’hôpital était l'un des premiers lieu qu'elle visitait dans le cadre de sa campagne. La santé pour tous, le confort des malades et la qualité de leurs soins et de leur suivi était l'une de ses préoccupations premières. Voilà pourquoi elle était à présent en train de serrer la main du directeur de l’hôpital, un ami de la famille qui plus est. La famille Fitzgerald contribuait régulièrement au bon fonctionnement du lieu en faisant des dons financiers. Une chose de plus normales si on prenait en compte leur fortune colossale.

Le directeur entreprit de faire visiter les lieux à Azaelle en profitant pour lui faire part des nombreux besoins qu'ils avaient encore. Suivis par quelques journalistes ainsi que deux membres de l'équipe de la jeu femme tout le petit groupe se trouvait à présent aux urgences. La candidate salua chaque personne présente en souriant et en profita pour poser quelques questions au personnels ainsi qu'aux patients sur leurs besoins. Elle tenait absolument à ce contact humain et le ne voulait se baser sur des simples statistiques ou autre chiffres sans âme de ce genre.

Finalement le directeur voulu lui montrer une des salles de consultation mais celle ci était déjà occupée par deux hommes, un médecin et son patient de toute évidence. Cela ne sembla pas dérangé le directeur le moins du monde contrairement à Azaelle. Il entra sans la moindre hésitation alors que la jeune femme resta un instant sur le pas de la porte.

"-Euh... Bonjour Messieurs. Ce n'est peut être pas le bon moment. Nous dérangeons surement.

-Ne dites pas de bêtises Mademoiselle Fitzgerald! C'est un honneur pour nous de vous accueillir et le docteur Richards et son patient comprennent tout à fait l'importance pour une candidate aux élections de voir pour elle même nos locaux et notre façon de travailler n'est ce pas? "
intervint le directeur.

Azaelle ne pu s'empêcher de hausser un sourcil à ces mots. Elle adressa alors un sourire d'excuse aux deux hommes présents. Celui qui était sur la table d'examen n'avait pas l'air d'être dans son assiette et n'avait sans doute pas envie de se retrouver avec une foule d'inconnus dans une situation pareille. Elle continua de sourire.

"- Nous avons tout le temps pour cela mais pour l'instant laissons le docteur Richards travailler tranquillement dans des conditions optimales. La santé et le bien être de vos patients doivent rester prioritaire sur tout le reste, même les élections. Sur ce je vous remercie Docteur pour ce que vous faites pour les habitants de cette ville et pour vous monsieur j'espère que vous serez bientôt totalement remis. Vous êtes entre de très bonnes mains et nous vous laissons l'intimité dont vous avez besoin. Au revoir messieurs et à bientôt j'espère, dans des meilleures circonstances cette fois." dit-elle avec sympathie avant de sortir.

Prit de court le directeur la suivi avant de refermer la porte. Ils avaient encore une multitude de choses à voir, de personnes à rencontrer alors autant ne pas perdre de temps.


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Re: Il est temps de baisser son pantalon [Owen], Ven 20 Mai - 15:56

 
Il est temps de baisser son pantalon
« Je suis tombé sur une bite...»

Il releva les yeux du dossier de son patient pour le fixer, un léger sourire sur les lèvres. Il était sérieux? Des remarques lourdes et des tentatives de drague tout aussi lourde il en avait eu des tas, mais celle là on ne la lui avait jamais faite. Quand il raconterait ça à Maxime... Son coeur se sera un instant quand il réalisa à quoi il venait de penser. Il ne raconterait rien à Maxime, il ne rigolerait pas avec lui de ce cas, tout simplement parce qu'il n'était pas là et qu'il ne serait certainement plus jamais là pour écouter ses histoires.

Il chassa ses soucis de ses pensées et se concentra sur son patient. Il sourit davantage en le voyant tenter de lui donner une explication.

« Non, mais attendez ! C'est pas ce que je voulais dire, c'est pas mon genre...Enfin, je me suis fais mal plus tôt dans la soirée lors d'un match de football pour le championnat universitaire et alors qu'on a décidé de sortir fêter notre victoire avec toute l'équipe et une bande de brésilienne, Dan l'un des receveurs de l'équipe m'a lancé le pari de sauter au dessus d'une bite, vous savez ses petits poteaux qu'on croise dans la rue...»

Il ne dit rien et se contenta de continuer à sourire légèrement en l'écoutant. Il voyait très bien de quoi il parlait. Et il commençait vraiment à se poser des questions sur l'état d'ébriété de son patient au moment où il s'était fait mal. Une soirée après un match, un pari stupide qui s'était mal terminé... encore un cas de mec trop bourré qui faisait des conneries et qui atterrissait dans son service. Enfin... s'était toujours plus agréable de gérer ça qu'un accident de la route.

« Je n'ai pas sauté assez haut avec cette douleur et du coup...BAM ! Je me l'a suis prise dans le cul. C'est drôle quand même non ? Aïe...»

Il releva les yeux de son dossier où il était entrain de prendre des notes. A s'agiter comme il le faisait, il n'y avait rien d'étonnant à ce qu'il se fasse mal. Il commençait vraiment à n'avoir aucun doute sur le fait qu'il était alcoolisé au moment de l'accident. Et probablement encore maintenant.

« Bon, je présume que vous allez vouloir que je me déshabille ? Ben va falloir m'aider alors parce que je peux pas faire grand chose avec cette douleur. »

Quelle chochotte... Ou plutôt quel horrible dragueur, pas vraiment discret. Il ne pouvait pas enlever son pantalon? Comment il avait fait dans ce cas pour arriver à pied jusqu'aux urgences? Enfin... il n'avait pas envie de se prendre la tête avec son patient. Il venait de se lever quand la porte de la salle d'examen s'ouvrit sur une jeune femme et son directeur.

"-Euh... Bonjour Messieurs. Ce n'est peut être pas le bon moment. Nous dérangeons surement."

C'était le cas, et il était content qu'au moins la jeune femme le remarque car son directeur lui avait l'air de s'en moquer complètement. Ca ne la surprenait qu'à moitié, ça le dégoutait mais ça ne l'étonnait pas.

"-Ne dites pas de bêtises Mademoiselle Fitzgerald! C'est un honneur pour nous de vous accueillir et le docteur Richards et son patient comprennent tout à fait l'importance pour une candidate aux élections de voir pour elle même nos locaux et notre façon de travailler n'est ce pas? "

Mais bien sur, et si son patient avait été dans un état critique il aurait encore plus compris que son médecin cesse de prendre soin de lui pendant quelques minutes, au risque de le voir mourir, pour qu'une candidate aux élections puisse venir faire son petit discours.

"- Nous avons tout le temps pour cela mais pour l'instant laissons le docteur Richards travailler tranquillement dans des conditions optimales. La santé et le bien être de vos patients doivent rester prioritaire sur tout le reste, même les élections. Sur ce je vous remercie Docteur pour ce que vous faites pour les habitants de cette ville et pour vous monsieur j'espère que vous serez bientôt totalement remis. Vous êtes entre de très bonnes mains et nous vous laissons l'intimité dont vous avez besoin. Au revoir messieurs et à bientôt j'espère, dans des meilleures circonstances cette fois."

Il soupira de soulagement en les voyant partir. Elle avait vraiment l'air moins stupide et sans gêne que ne l'était son directeur. Il se retourna vers son patient, espérant qu'il n'ait pas été trop gêné par leur entrée inattendue. Heureusement pour lui qu'il avait encore son pantalon sur ses fesses quand ils étaient entrés.

- Désolé pour ça... Il faut croire que le directeur de l'hôpital n'a aucune idée de ce que nous faisons ici... Enfin... Montrez moi un peu ce coup de bite...

Il lui sourit malicieusement, espérant faire passer l'incident avec le directeur un peu plus facilement. Il l'aida à s'installer sur la table d'examen et à retirer son pantalon et ses sous vêtements. Après avoir enfilé des gants il commença à examiner doucement ses fesses, les palpant par endroit. Il évita le sourire de l'infirmière quand elle arriva pour lui porter l'échographe portable. Elle était vraiment épuisante. Comme si d'ausculter les fesses d'un mec bourré allait lui changer les idées.

- Attention ça va être froid...

Il appliqua un peu de gel sur ses fesses et passa la sonde dessus. Après plusieurs minutes il essuya son postérieur du gel qu'il avait appliqué et remonta son pantalon sur ses fesses.

- Bien, ce n'est rien de grave. Pas de lésions particulière, vous allez juste avoir un splendide hématome qui va mettre un peu de temps à se résorber et qui va vous faire mal.

Il prit une ordonnance et écrivit rapidement dessus avant de la lui tendre.

- Appliquez cette pommade dessus trois fois par jour et n'hésitez pas à appliquer de la glace pour vous soulager. Quelques jours de repos et vous pourrez reprendre vos sauts de bites sans problème.

Il rangea son dossier puis revint en soupirant légèrement à proximité du jeune homme. Il le fixa gravement dans les yeux avant de demander :

- Maintenant soyez honnête... vous avez bu ce soir?
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Owen J. Saunders
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Re: Il est temps de baisser son pantalon [Owen], Mer 1 Juin - 22:17


Il est temps de baisser son pantalon
Samuel feat Owen.

 


J'étais dans un état pitoyable, c'était sur ! Il suffisait à peine de me regarder allonger sur cette table à tenter de bouger dans tout les sens comme un asticot pour comprendre que je ne suis pas dans mon état normal. En tout cas, il y en avait bien un qui avait l'air de s'amuser de mon malheur ce soir, pensais-je en tournant la tête vers le médecin qui était assis sur son tabouret a côté de moi. En même temps je ne pouvais pas lui en vouloir...Je venais de lui raconter mon périple nocturne et la rencontre de mon postérieur avec une bite. De plus, j'avais bien choisis mes mots pour raconter ce qui m'était arrivé au point que même moi j'avais envie de rire à mes propres paroles. Cependant , il ne dit rien même pas lorsque je lui demande de l'aide pour me déshabiller alors que je tentais toujours de me retourner pour lui faire face maintenant qu'il s'était levé pour s'approcher de la table d'examen. « Euh... Bonjour Messieurs. Ce n'est peut être pas le bon moment. Nous dérangeons surement.» dit une voix féminine venant de l'entrée de la salle d'examen. Mon regard se bloqua sur la porte, un homme d'un certain âge accompagné d'une jeune femme brune plutôt mignonne fit son apparition. « Ne dites pas de bêtises Mademoiselle Fitzgerald! C'est un honneur pour nous de vous accueillir et le docteur Richards et son patient comprennent tout à fait l'importance pour une candidate aux élections de voir pour elle même nos locaux et notre façon de travailler n'est ce pas? » Si la jeune femme semblait elle gênée par la situation, le vieux lui en avait complétement rien à cirer. Mais mon attention ne se portait aucunement sur leurs paroles. A vrai dire, j'avais l'impression d'avoir déjà vu cette fille...Mais oui, c'est une amie de Dylan Anderson ! « Salut ! Moi vous ne me dérangez pas, vous pouvez rester le temps que vous le souhaitez...enfin vous, pas lui. »dis-je en montrant du doigt le vieux directeur de l'hôpital avec un large sourire. « Nous avons tout le temps pour cela mais pour l'instant laissons le docteur Richards travailler tranquillement dans des conditions optimales. La santé et le bien être de vos patients doivent rester prioritaire sur tout le reste, même les élections. Sur ce je vous remercie Docteur pour ce que vous faites pour les habitants de cette ville et pour vous monsieur j'espère que vous serez bientôt totalement remis. Vous êtes entre de très bonnes mains et nous vous laissons l'intimité dont vous avez besoin. Au revoir messieurs et à bientôt j'espère, dans des meilleures circonstances cette fois.» La porte se referme alors que j'hausse les épaules les regardant s'en aller. A quoi pouvait bien servir cette visite...étrange à part mater les belles fesses d'un spécimen d'exception ? Je n'en savais rien et en fait au fond, je m'en foutais. « Désolé pour ça... Il faut croire que le directeur de l'hôpital n'a aucune idée de ce que nous faisons ici... Enfin... Montrez moi un peu ce coup de bite...» A ses mots, j'arque un sourcils, le regardant par dessus mon épaule avec un petit sourire. Est-ce qu'il venait bien de dire ce qu'il venait de dire ? D'ailleurs, j'avais l'impression que ce coup de bite ne l'amusait plus seulement, mais l'intéressait d'un point de vu plus personnel...Il m'aida à me déshabiller, enfin je le laissa faire plutôt avant qu'il ne m'aide à grimper de nouveau sur la table. « Jamais j'aurais cru qu'on me fasse un massage du cul à l'hôpital...aie !! Vous me faites mal ! » La porte s'ouvre alors de nouveau et c'est l'infirmière qui m'avait installée dans la pièce quelques minutes avant qui vint apporter une machine étrange. De nouveau, je tente de me retourner pour regarder le médecin qui se trouve de l'autre côté de la table alors que l'infirmière quitte la pièce. « Vous allez faire quoi à mon cul avec ça ? » dis-je en le voyant sortir un truc bizarre du côté de la machine relier à un fil. Il finit par m'avertir que ça aller être un peu froid et c'est à ce moment qu'il m'applique une substance qui gluante sur les fesses. « Vous êtes en train de transformer mon cul en glaçon la » dis-je avant de laisser échapper un rire. Au moins toute l'alcool que j'ai dans le sang va pouvoir me réchauffer...« C'est quoi ? Du lubrifiant ? Vous allez m'enfoncer ce truc dans les fesses ? Parce que si c'est ça, je vous préviens tout de suite c'est pas mon truc et je suis pas préparé... » Finalement non, c'est sur mes fesses simplement qu'il déposa la machine la faisant passer dans tous les sens et appuyant à certains endroit avant de me dire après avoir essuyer mes fesses pleine de gel et m'avoir aidé à remonter mon pantalon légèrement. « Bien, ce n'est rien de grave. Pas de lésions particulière, vous allez juste avoir un splendide hématome qui va mettre un peu de temps à se résorber et qui va vous faire mal.» Je me retourne alors pour m'installer sur le dos. Je serais bien resté allongé ici pour faire une sieste moi. Il me tend alors le papier sur lequel il avait inscrit tout ce dont j'aurais besoin pour soigner mon coup de bite comme il aime le dire. « Appliquez cette pommade dessus trois fois par jour et n'hésitez pas à appliquer de la glace pour vous soulager. Quelques jours de repos et vous pourrez reprendre vos sauts de bites sans problème.» Je fronce alors les sourcils en le regardant. J'ai mal...comment de la pommade va me soigner cette douleur au cul ? « C'est tout ,vous ne me faites même pas un bandage ? Je vais pas guérir rapidement avec de la pommade, vous savez quoi ils nous mentent ! C'est que de la connerie la pommade...et je sais de quoi je parle. » En fait, je savais surtout que j'avais beaucoup d'alcool dans le sang et que je disais surement n'importe quoi, des mots dont je ne me rappellerais pas demain matin aux réveils. « Maintenant soyez honnête... vous avez bu ce soir?» Je le regarde alors de nouveau en fronçant les sourcils comme ci ce qu'il venait de me dire est quelque chose de mauvais à mon encontre. Finalement, je finis par exploser de rire à nouveau. Est-ce que ça se voyait tant que cela que j'avais bu ?  « Moi ? Si j'ai bu ? Noooon...Je ne bois pas moi monsieur ! » Je lui adresse alors un grand sourire avant de placer mon bras sous ma tête en regardant les murs blancs qui m'entourent.  « Dîtes, pourquoi vous ne mettez pas un peu de couleur dans ses pièces ? Je sais pas, je verrais bien un peu de vert sur ce mur et du jaune sur celui-là » dis-je en montrant le mur face à moi du doigt.  « Au fait, j'ai une question ! Ca vous arrives de jouer au docteur avec votre femme monsieur le docteur ? » de nouveau, des petis éclats de rire m'échappèrent alors que je le fixais quand soudain, plus bas au niveau de mon entre-jambe je commence à sentir mon pénis faire des siennes. Instinctivement, je baisse alors le regard vers mon jean déformé par une bosse.  « Je crois que j'ai un autre problème docteur...mon mal de cul est passé devant...Qu'es-ce que je fais ? » dis-je en le regardant d'un air paniqué, attendant qu'il vienne à mon secours.




Dernière édition par Owen J. Saunders le Dim 5 Juin - 12:49, édité 1 fois
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Re: Il est temps de baisser son pantalon [Owen], Ven 3 Juin - 15:41

 
Il est temps de baisser son pantalon

Il ne savait pas ce qu'il allait lui répondre. Il allait probablement nier fortement être alcoolisé. Il n'y avait qu'à voir le florilèges de remarques qu'il avait pu lancer pendant qu'il l'examinait. A commencer par sa remarque au directeur de l'hôpital quand il était entré avec la candidate à la mairie. Sur le moment il avait eu du mal à se retenir de rire.

Mais il y en avait d'autres... il était franchement lourd. Comme si il était le genre de médecin à aller faire des trucs dégueulasse avec son appareil à échographie à un de ses patients. Il devait en exister certainement, des cas comme ça, mais en général ils finissaient rapidement en prison. Ou alors c'était une tentative de drague franchement foireuse. Pourtant le mec ne lui avait pas semblé être homosexuel à la base. Il avait plus l'air de la caricature du footballeur, fier de son hétérosexualité.

Il soupira, quand il commença se plaindre de sa façon de le soigner. Un bandage... non mais il voulait bien lui expliquer de quelle façon il était sensé faire tenir un bandage sur sa fesse? Et puis surtout quel intérêt? Sa pommade serait efficace, elle allait calmer la douleur en même temps qu'elle soignerait l'inflammation de son muscle. Il n'allait pas non plus bourrer son patient de médicaments qui allaient le détraquer aussi surement que ça allait le soigner, pas pour une légère contusion au niveau de la fesse.

Alors qu'il attendait sa réponse, il le vit se mettre à exploser de rire avant de lui sortir :

« Moi ? Si j'ai bu ? Noooon...Je ne bois pas moi monsieur ! »

Ca confirmait ce qu'il pensait. Il avait bien bu. Et si tout ce qu'il avait pu lui dire jusqu'à présent ne suffisait pas, il n'y avait qu'à voir la suite de son discours pour en être certain.

« Dîtes, pourquoi vous ne mettez pas un peu de couleur dans ses pièces ? Je sais pas, je verrais bien un peu de vert sur ce mur et du jaune sur celui-là»

C'est vrai qu'au vu de sa douleur à la fesse, la couleur des murs était d'une importance primordiale. C'était d'ailleurs le thème de sa thèse de fin d'études "L'incidence de la couleur des murs des salles d'examens au service des urgences sur la rémission des patients admis pour contusion du grand fessier". Il était sur qu'il aurait les félicitations du jury avec une thèse pareille. Mais bien sur son patient n'était pas bourré.

« Au fait, j'ai une question ! Ca vous arrives de jouer au docteur avec votre femme monsieur le docteur ?»

Il était de plus en plus lourd. Il n'arrivait plus à savoir si c'était vraiment de la drague ou si c'était juste des remarques de merde. Parce qu'il lui parlait de sa femme là et... il était vraiment loin de la réalité. Mouais... il était tout simplement trop éméché pour se rendre compte de ce qu'il était en train de lui dire.

« Je crois que j'ai un autre problème docteur...mon mal de cul est passé devant...Qu'es-ce que je fais ?»

Il soupira en voyant la bosse qui était entrain de déformer son pantalon. Non sérieusement il n'allait pas s'en sortir avec ce cas là. Il maudissait son infirmière pour le lui avoir refiler. Si c'était une blague parce qu'elle avait vu à quel point il était bourré, ce n'était pas vraiment drôle. Et si elle ne l'avait pas vu et qu'elle avait tenté de le caser avec lui, c'était plutôt inquiétant quand on imaginait la vision qu'elle avait de sa vie amoureuse pour en être réduit à le présenter à des types aussi lourd.

Il se leva et s'approcha de l'armoire à pharmacie. Il retira un produit, une aiguille et une seringue et commença à la préparer. Restant dos à lui pour travailler, il lui parla tranquillement, retenant le sourire qui menaçait de le trahir.

- Vous avez raison, votre mal est trop grave pour que je le laisse progresser ainsi. Je vais vous donner un meilleur médicament que la pommade pour vous soulager.

Il se retourna ensuite vers lui armé de sa seringue et lui injecta le produit avant qu'il ait le temps de réagir. Il n'eut que quelques instants à attendre avant de le voir agir et faire tomber son patient endormi sur le brancard.

L'infirmière arriva rapidement après ça et sourit en voyant la scène. Elle se tourna vers le jeune médecin et lui demanda ce qu'il lui avait fait.

- Un petit peu d'haldol... Il en a pour quelques heures à dormir. Est ce que tu pourrais lui poser une perf avec notre cocktail spécial alcoolique? Et un peu de perfalgan pour son futur mal de tête et sa douleur à la fesse. Je vais le surveiller en attendant le retour de la relève. Quand il sera réveillé on pourra le laisser partir.

Il compléta rapidement le dossier du patient avec ses prescriptions et le tendit à l'infirmière. Il repartit dans le bureau où il s'était caché et récupéra ses dossiers avant de revenir s'installer dans la chambre de son patient bourré. L'infirmière avait eu le temps de le déshabiller pour lui mettre une blouse d'hôpital et était entrain de lui passer les médicaments.

Il la regarda avec un sourire qu'elle lui rendit. Il s'installa dans un coin dans la pièce et compléta ses dossiers en attendant qu'il se réveille. Il allait certainement avoir un joli mal de tête mais ce serait certainement moins pire avec les médicaments qu'il lui avait donné que sans rien.

Il allait peut être pouvoir terminer sa garde tranquillement et peut être qu'à son réveil son patient se serait calmé. En tout cas... il ne voyait plus de bosse déformer sa blouse...

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Owen J. Saunders
Owen J. Saunders
ADMINISTRATEUR ▪ le brin de folie
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Je suis arrivé(e) à New York le : 01/05/2016 . J'ai envoyé : 227 mails. J'ai : 28 Actuellement, je gagne : 964 dollars. On me confond souvent avec : Dean Geyer. Je dois mon jolie minois à : la boîte à avatars. et mon pseudo sur la toile est : zaza.

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Re: Il est temps de baisser son pantalon [Owen], Mer 15 Juin - 9:22


Il est temps de baisser son pantalon
Samuel feat Owen.

 


« Vous avez raison, votre mal est trop grave pour que je le laisse progresser ainsi. Je vais vous donner un meilleur médicament que la pommade pour vous soulager. » Un large sourire prit place sur mon visage pour remplacer cette grimace de terreur que je portais. Enfin, il allait me donner quelque chose d'efficace contre mon mal de fesses, j'étais aux anges. Pendant qu'il se retourne pour préparer les médicaments, je regarde autour de moi toujours occupé à refaire la décoration de la pièce. « Ce truc là-bas ! Il devrait être rose avec de la fourrure, il serait plus beau et ça vous réchaufferer les fesses quand vous êtes assis dessus. » dis-je en montrant le tabouret un peu plus loin du doigt. « Vous réchauffer les fesses vous avez compris ? Alors que j'ai mal au cul, je vous parle de réchauffer le votre...je suis trop drôle parfois... » dis-je en riant aux éclats alors qu'il s'approcha de moi. A ce moment la, je ressens un picotement dans la jambe qui me font baisser les yeux, s'écarquillant en voyant la seringue plantée. Quel goujat, il aurait pu me prévenir ! « Héé...j... » rapidement, il était devenu impossible pour moi de parler alors que je sentais mes paupières devenir de plus en plus lourdes...le salop m'avait endormit.

Des heures, des minutes ? Je ne savais pas combien de temps j'avais passé allongé sur se brancard endormi. Mes paupières s'ouvrèrent difficilement, alors qu'un léger mal de tête me fit me souvenir que j'avais passé une soirée encore une fois un peu trop arrosée. Heureusement, cette fois-ci la douleur n'était pas aussi forte que d'habitude et je venais de comprendre pourquoi en voyant le fil planté dans mon bras. « Vous êtes qui vous ? » dis-je en haussant un sourcil à l'homme assit pas très loin de moi après avoir examiné la pièce dans laquelle j'étais. « Me dites pas que vous êtes un fou qui veut m'ouvrir la tête ? » Même si la situation est plutôt étrange et que je ne sais pas ce que je peux faire dans cette pièce qui semble plus être une salle de consultation d'hôpital qu'une salle de torture d'un fou psychopathe, il faut dire que c'est bizarre de ne se souvenir de rien de ce qu'il a pu se passer les heures précédentes. « Qu'est-ce que je fais ici ?  J'ai dormis pendant combien de temps ? Ne me dîtes pas que j'ai fais un coma éthylique ? Mon coach de foot va me tuer si il apprend ça et ma mère je ne vous en parle même pas... » Même si au fond de moi, je n'en avais strictement rien à faire de ce que cette dernière pouvait penser et que justement, lui faire peur une nouvelle fois pourrait peut-être lui rappeler qu'elle a un fils en plus de sa petite fille. « Allez-y, dites moi ce que j'ai fais encore comme conneries...Je me suis retrouvé la tête coincé dans les toilettes ? J'ai encore une fois décidé de me prendre pour un super-héros et je me suis jeté de la fenêtre de ma chambre d'étudiant sur un petit matelas en bas en criant "Vers l'avenir et l'au dela ?" » Il faut dire que parfois, même ma stupidité arrive à m'impressionner moi même. Mon regard de porta de nouveau sur la perfusion. Qu'est-ce qu'il avait pu bien mettre la dedans ? Je me sens complètement crevé d'un coup, comme-ci on m'avait mit un grand coup sur la tête et mes bâillements ne faisaient que confirmer la chose. « Vous auriez du café ou de la vodka ? Je sais pas, quelque chose dans le genre qui me permettrait de me réveiller parce que la... » dis-je en reposant la tête la ou s'était retrouvé il y a quelques minutes, regardant de nouveau le plafond en attendant une réponse du docteur.

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Re: Il est temps de baisser son pantalon [Owen], Ven 17 Juin - 17:22

 
Il est temps de baisser son pantalon

Il était entrain de terminer de remplir son dernier dossier quand il entendit son patient commencer à s'agiter dans le lit. Le reste de la nuit avait été plutôt calme. Il n'y avait pas eu de nouvelles urgences à régler. Il avait pu terminer ses dossiers en paix tout en gardant un oeil sur son patient. Maintenant qu'il se réveillait, il espérait qu'il allait retrouver un minimum ses esprits et arrêter de lui débiter le flot de conneries dont il l'avait abreuvé un peu plus tôt.

« Vous êtes qui vous ? Me dites pas que vous êtes un fou qui veut m'ouvrir la tête ?»

Il soupira, ignorant ce qu'il venait de dire. Il allait lui laisser quelques instants pour remettre ses idées en place. Il se réveillait dans un lit d'hôpital après une cuite monumentale, c'était normal qu'il soit un peu embrouillé. Mais les blagues de merde avaient l'air de faire partie intégrante de sa personnalité, ce n'était peut être pas juste l'alcool. Quand on disait que ce dernier faisait ressortir le pire de nous.

Il ferma son dernier et le repoussa loin de lui en poussant un soupir de soulagement. Il arrivait à la fin de sa nuit, la quatrième à la suite qu'il faisait. Il était un petit peu sur les nerfs vu les moments qu'il avait traversé ces derniers temps.

« Qu'est-ce que je fais ici ?  J'ai dormis pendant combien de temps ? Ne me dîtes pas que j'ai fais un coma éthylique ? Mon coach de foot va me tuer si il apprend ça et ma mère je ne vous en parle même pas...»

Il sourit tout en rangeant ses affaires. Il était entrain de retrouver ses esprits. Ce n'était pas plus mal. Il allait pouvoir faire ses transmissions à sa relève, libérer son patient et filer dormir. Il avait quelques jours de repos maintenant. Il allait pouvoir dormir puis comater toute la journée. Et il en avait bien besoin.

« Allez-y, dites moi ce que j'ai fais encore comme conneries...Je me suis retrouvé la tête coincé dans les toilettes ? J'ai encore une fois décidé de me prendre pour un super-héros et je me suis jeté de la fenêtre de ma chambre d'étudiant sur un petit matelas en bas en criant "Vers l'avenir et l'au dela ?"»

Il se retint de rire en entendant ses hypothèses. Il avait peut être été un peu injuste dans sa façon de le juger. L'alcool rendait con et il en était le parfait exemple, mais il semblait retrouver ses esprits et redevenir plutôt normal.

« Vous auriez du café ou de la vodka ? Je sais pas, quelque chose dans le genre qui me permettrait de me réveiller parce que la...»

Il prépara rapidement son matériel et revint vers lui. Il arrêta la perfusion et s'installa sur son siège roulant à côté de lui.

- Vous n'avez pas fait de coma éthylique. Vous êtes simplement venu parce que, je vous cite, êtes "tombé sur une bite".

Il se retint de rire en voyant la tête qu'il fit à cet instant. C'était impayable. Ca valait le coup d'être resté à attendre son réveil rien que pour profiter de cet instant.

- Vous avez voulu sauter par dessus un de ses petits poteaux qu'on croise dans les rues, les bites, et vous êtes tombé dessus. Vous n'avez rien de grave, juste un bel hématome qui va se résorber seul avec le temps et des massages avec la pommade que je vous ai prescrit. J'ai également préparé une lettre pour votre coach, vous ne devez pas trop forcer à l'entrainement pendant un petit moment.

Il montra de la tête les papiers qu'il avait rédigé et qui se trouvaient sur les vêtements que l'infirmière avait retiré à son patient.

- Pour ce qui est du reste... Vous êtes arrivé en état d'ébriété et plutôt intenable. Pour la faire courte vous m'avez demandé de m'occuper également de votre mal de devant...

Il lui sourit à nouveau, se retenant à grande peine de rire. Il savoura une fois de plus les réactions de son patient. Il illuminait la fin de sa soirée avec ses conneries en fin de compte.

- On a du vous endormir le temps que vous vous remettiez de votre cuite. Enfin... on vous y a aidé un peu...

Il montra de la tête la perfusion qui se trouvait suspendu à côté de lui. Il l'arrêta avant de commencer à se pencher sur le bras du jeune homme. Puis pour le distraire de ce qu'il s'apprêtait à faire il lui lança en souriant :

- Et c'est "vers l'infini et au delà" et non vers "l'avenir"...

Il profita de son moment de surprise pour retirer le cathéter de son bras. Il appliqua ensuite un pansement dessus et jeta tout ce qu'il avait utilisé. Il se retourna vers son futur ex patient, se mordant légèrement la lèvre. Ce n'était pas sérieux que de faire ça. Il n'était pas sensé sortir avec ses patients. Mais ce n'était pas comme s'il comptait faire quoi que ce soit de répréhensible avec lui. Dans quelques minutes il ne serait d'ailleurs plus son patient. Il n'allait pas non plus devenir un patient régulier. Il était venu pour un simple traumatisme de la fesse. Il n'enfreignait pas vraiment de règles en faisant ce qu'il comptait faire. Et de toute façon, il y avait de grandes chances pour qu'il refuse.

- Je ne pense pas, que vu la nuit que vous venez de passer, la vodka soit très conseillée, et le café de l'hôpital est dégueulasse. Mais si vous voulez... j'ai bientôt terminé ma garde. Je connais un café pas très loin qui est assez sympa, on peut aller en boire un si vous voulez...

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